Pour enfin, porter les revendications directement auprès de Madame Schneider, directrice de la DICom et s’opposer à l’intégration de nouveaux services rendus par le 3975 pour pallier le manque des directions de la Ville, et surtout permettre l’économie de moyens humains et financiers.

Lors de son discours moralisateur Monsieur Bordeaux a reproché avec véhémence le manquement des agents à leur mission de service public.

Seulement le service public de proximité que défendent les agents, n’a rien en commun avec l’entreprise de la municipalité, avide de services dématérialisés où l’administré non connecté n’a plus sa place.

Et puisque la notion de respect y a été évoquée, les agents tiennent à faire savoir qu’ils ont autant celui de leur hiérarchie que celui des usagers qu’ils renseignent et qu’ils ont à cœur de bien servir dans les meilleures conditions.

• Une prime de 100 € mensuelle (IAT 3), en reconnaissance de la technicité du métier.

• Le maintien d’une information d’un 1er niveau de compétence : le traitement des dossiers est l’affaire des directions.

• La suppression du double système de notation.

• Une base de données propre au Centre d’Appels, fiable et enrichie pour un traitement de l’information, rapide et de qualité.

• La titularisation des agents vacataires au 3975.